par Spirono Jeu 08 Jan 2015, 08:44
Je serais plus nuancé.
Mon principe de base est le même, du moins dans un premier temps: pas de père!
Enregistrement des actes dans l'ordre:
Naissance (ne pas oublier de changer le statut dans la petite fenêtre* [Légitime])
puis Reconnaissance, pour laquelle j'ai créé un [Evénement individuel] que j'ai rebaptisé, car ce n'est pas un type de naissance selon moi.
Si, plus tard il y a légitimation, par exemple lors du mariage des parents, ou adoption, l'individu prend alors son nouveau nom et je place le patronyme initial en [Suffixe] précédé de la mention "né". Ainsi, lors des éditions, si je choisi l'option avec suffixe le nom apparaitra "DUPONT né DUVAL"
Mais après tout, la génération spontanée n'existant pas, on peut très bien créer (et je le pratique ponctuellement) un père nommé "INCONNU" (référence à l'appellation légale), ou NC (= Non Connu, très usité en généalogie), ou tout autre préférence personnelle (à éviter)...
avec le type d'union [Union libre] ou [Inconnu]
Cela a le mérite d'être clair dans les éditions: ce n'est pas que l'on ne l'a pas trouvé, c'est que c'est son statut!
Mais cela implique aussi que l'enfant n'est plus "Bout de branche" côté paternel.
Attention, toutefois, si la dame reproduit le fait, rien ne dit que ce soit avec le même géniteur. Dans ce cas, non seulement la création des fiches paternelles peut paraître encore plus utile. On peut distinguer le coupable par le prénom Nc-1, Nc-2, quitte à devoir les fusionner un jour, qui sait!
Ce peut être aussi jugé utile en cas de mariage de l'épouse avec un autre que le père, de façon à bien établir l'ordre des enfants.
*Dans tous les cas, des précisions en [Note individuelle] sont nécessaires, à mon humble avis, le cochage de mentions prédéfinies ne me satisfaisant pas, mais c'est un autre débat!