JFS a écrit: Touplouz a écrit: C'est subjectif, mais on le sent
Est-ce tellement subjectif ?
Je ne crois pas : un mélange d'expérience et de chance nous aide souvent à emprunter le bon chemin pour résoudre nos problèmes généalogiques.
Et pour revenir aux témoins, parrains et marraines, et pour ce qui me concerne, j'ai observé que ce sont souvent des oncles ou des tantes. Celà aide bien.
Mais ce n'est peut-être pas pareil dans toutes les régions ?
Je reviendrai sur mon terme, "
subjectif" mais vrai dans le sens où on sent les choses,
rajouté à nos expériences personnelles, ...... on n'est plus "objectif".......... Mais cela reste du vocabulaire......
Je rajoute ce que j'ai remarqué dans ma quête de témoins et surtout d'abord au départ, les "parrains" et "marraines" aux naissances pour répondre à Jean-François. Par chez moi, souvent pour le premier enfant ou le deuxième, quand les grands-parents sont encore vivants, ce sont eux qui sont les parrains et marraines, vrai, une piste à exploiter quand il nous manque des filiations......
Et par la suite, oui l'ai constaté aussi par chez moi, les oncles et les tantes....
Alors pour les témoins (généralement aux mariages), c'est autre chose, moi je ne dirais pas forcément les oncles ou tantes,
plutôt des amis ou des proches (du "village", d'où ma mention quand j'ai parlé des subdivisions qui pour moi sont une piste très sérieuse à exploiter, surtout avec les homonymes fréquents chez moi et qui maintenant m'évitent (bien-sûr pas à 100 %) de créer des doublons (j'en ai encore beaucoup j'en suis sûr, mais la liste diminue peu à peu...........). J'ai remarqué cela pour avoir recherché tous ces individus saisis un peu à tord au début et quand j'ai voulu corriger un peu mes erreurs de
débutant à la course aux nombres d'individus dans ma base de données.........,
l'expliquerai plus bas.... (Donc ces individus un peu saisis à "la tout-va" m'ont beaucoup servi par la suite car les ai "raccrochés"....).
Pour répondre à JFS, je ne peux savoir comment ça se passe dans d'autres régions, ma généalogie se situant à plus de 99 % dans le Morbihan et de plus, autour de ma commune du littoral........
Je l'ai signalé à Daniel-44 dans un de ses derniers sujets, il est vrai, je possède toutes les tables papiers de ma commune (
commençant aux naissances en 1599, en Marie c'est 1559, puis les tables des décès à partir de 1610 et les mariages à partir de 1640, et le tout jusqu'à 1895, dates de la collecte, respectant la règle des 100 ans à l'époque.....). De plus, ma commune bénéficie de très peu de lacunes définitives (
une très grande chance....), seulement les années 1684, 1688, 1691, 1693, 1694, 1698 et 1699 qui ont totalement disparu autant en Mairie qu'aux archives départementales......., ai peu d'individus isolés (
mentionné aussi plus bas)
Après la découverte d'Hérédis 2018 et de la saisie des actes où j'inscrivais dans "tous les sens" les témoins, ai mieux maîtrisé cela par la suite. Dès qu'un témoin était mentionné, généralement avec son lieu de résidence (une subdivision), je le recherchais dans mes Tables son éventuel mariage et naissances de ses enfants (premier repérage...). Cela par la suite m'a permis de le "cibler" dans ma base de données si je l'avais déjà saisi (
donc d'éliminer la création d'un doublon...), d'autant que par son mariage, je pouvais remonter sa filiation (actes filiatifs en général dans ma commune après 1730), et qu'en général ai pris l'habitude de la remonter sur au moins deux générations...
C'est ainsi qu'en répondant à Daniel-44 sur les individus "isolés", j'ai pu dire que sur un peu plus de 20000 individus, il ne me reste plus que
24 "isolés".....
J'ai fait certes une très longue réponse à Jean-François (
JFS), mais en ai profité pour partager mon expérience sur ce sujet.
But de ce forum........ Partager nos expériences et pourquoi pas nos "tuyaux" et notre manière de travailler......