par Cousins d'Edouard Sam 08 Mar 2014, 21:09
Bonsoir Tignothe,
Nous sommes sans doute moins éloigné qu'il n'apparait au premier regard.
Quand je parle de science, je parle de rigueur de démonstration, de validité scientifique, pas de connaissances.
La science ne "sait" pas tout. 80% des connaissances mondiales actuelles ont été découvertes depuis moins de 30 ans !
Dit autrement, si quelqu'un est sorti de l'école, même à un haut niveau universitaire en 1980 et qu'il n'a pas actualisé progressivement ces savoirs ne maitrisent que 20 % des savoirs actuels. Je pourrais illustrer avec le fantasme de la liberté sexuelle adolescente à Samoa, encore présente dans les années 1970 - 1980 dans les université de psycho ! En réalité, c'est presque l'inverse, car des adolescentes victimes de "viol-de-nuit" pendant leur sommeil, se suicide de honte pour avoir perdu leur virginité !
Quant à Descartes, sa méthode est obsolète pour comprendre les systèmes en interactions complexes où on ne divise plus pour comprendre , mais on modélise pour saisir les interactions multiples qui oeuvrent.
Maintenant, pour la radiesthésie , je sais seulement que le prix financier important proposé par Charpack pendant des années pour tenter de démontrer scientifiquement son existence n'a jamais été touché.
Par contre pour la psychogénéalogie, je n'ai jamais trouvé un article qui a travaillé scientifiquement, c'est à dire en isolant les facteurs, comparants tels ou tels éléments entre groupes témoins, constitués selon des profils précis, des test en aveugle, des calcul de résultat suffisamment solide (résultats non lié au seul hasard), etc.
Un tel article doit être publié dans des revues scientifiques dite à comité de lecture en aveugle, c'est à dire que des "pairs" (exemple réel : un de France, un de Montréal, un USA), ayant travaillé la question et connaissant la littérature (scientifique) sur le ,sans avoir le nom et les références de l’auteur (biffé) évaluent la méthode de travail, la prise en compte des travaux récents, le traitements des biais et de leurs risques et estiment que la publication est acceptable en l'état.
Ils ne se prononcent pas sur les résultats, mais sur la manière de les obtenir et de les reproduire.
C'est peut-être un peu long, excusez-moi
Mais Merci Tignothe pour ton commentaire qui permet de nous faire réfléchir.
Cordialement
Jean-Yves