« Lorsqu’un ancien meurt, c’est une bibliothèque qui brûle » disait
un célèbre ethnologue, Hampaté Bâ. Nous pouvons reprendre cette formule
à notre compte, car nous avons tous regretté un jour que la mémoire de
l’un de nos parents n’ait pas été écrite et conservée. Nous sommes
témoins de notre temps et chacun d’entre nous a accumulé d’innombrables
souvenirs qui reviennent en surface pour peu qu’on les sollicite. Il n’y
a pas de vies sans intérêt.
Comment s’y prendre pour mettre en forme tous ces souvenirs ?
Comment faire revivre nos ancêtres ? Comment démarrer et susciter
l’intérêt du lecteur ?
C’est ce que tentera de nous expliquer Hélène SOULA, biographe
familiale, à l’occasion d’une conférence ouverte au public le samedi 3
décembre 2011 à Louveciennes, à 15 heures, Maison Amanda (21 rue du
général Leclerc).
cghlouveciennes
un célèbre ethnologue, Hampaté Bâ. Nous pouvons reprendre cette formule
à notre compte, car nous avons tous regretté un jour que la mémoire de
l’un de nos parents n’ait pas été écrite et conservée. Nous sommes
témoins de notre temps et chacun d’entre nous a accumulé d’innombrables
souvenirs qui reviennent en surface pour peu qu’on les sollicite. Il n’y
a pas de vies sans intérêt.
Comment s’y prendre pour mettre en forme tous ces souvenirs ?
Comment faire revivre nos ancêtres ? Comment démarrer et susciter
l’intérêt du lecteur ?
C’est ce que tentera de nous expliquer Hélène SOULA, biographe
familiale, à l’occasion d’une conférence ouverte au public le samedi 3
décembre 2011 à Louveciennes, à 15 heures, Maison Amanda (21 rue du
général Leclerc).
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