Quelqu'un pourrait il m'éclairer? Je trouve auprès de certaines signatures un signe qui ressemble à = (en plus gros) avec entre les lignes trois points alignés. Savez vous ce que cela signifie?
Merci d'avance de vos lumières...
[/quote[/url]]Jean-Michel MATHONIÈRE a écrit: Je connais ainsi, aujourd'hui, des personnes qui signent avec les trois points pour se faire passer pour des francs-maçons !
[url=http://www.compagnonnage.info
Michaël a écrit:
Quand aux entreprises, je me souviens avoir participé, dans le cadre de la sécurité logicielles (virus, .cheval de Troie, ...), dans ma banque à la lutte contre les sectes (en particulier dans la [dé] formation et dans les sociétés de service informatiques). Il n'a jamais été question, à ma connaissance, des maçons !
voila donc un article qui m'intéresse au plus haut point, surtout le passge concernant la liste des noms et la recommendation de faire attention aux surnoms dont deux qui me viennent à l'esprit Larose et Laviolette, surnom de militaires.Jean-Michel MATHONIÈRE a écrit:Le terme « compagnon » doit être compris tout d'abord dans son sens général avant que d'être, éventuellement, rattaché au sens particulier de « compagnon du Tour de France » (le terme est quelque peu impropre mais il offre l'avantage de clairement exprimer l'idée générale). Un compagnon est un ouvrier qualifié, après la phase de l'apprentissage, dans le système corporatif d'autrefois. Si ses capacités professionnelles et financières le lui permettent, il deviendra « maître ».
Le durcissement des conditions d'accès à la maîtrise au cours des XVIe et XVIIe siècles est justement l'une des causes principales de la montée en puissance des compagnonnages dans certains métiers (menuisiers, chapeliers par exemple) : les ouvriers qualifiés restant de plus en plus cantonnés au rang de simples compagnons, ils développent en conséquence des formes associatives en marge des confréries et corporations de métiers, aux mains des maîtres, afin de veiller à la sauvegarde de leurs intérêts. Mais toutes ces associations ouvrières ne deviennent pas pour autant des compagnonnages.
On soulignera que le terme « maçon » désigne encore souvent à cette époque le tailleur de pierre, davantage que le maçon poseur au sens où nous l'entendons aujourd'hui.
Au cours de mes recherches, j'ai justement croisé la piste de compagnons partis pour la Nouvelle-France et j'ai signalé dans la préface du roman de Ginette Fauquet, La chaîne d'alliance, tout l'intérêt de cet aspect négligé de l'histoire des compagnonnages (voir : http://www.compagnonnage.info/compagnonnages/preface-chaine-fauquet.htm).
sachant qu'il n'y avait que très peu différentes sortes de plumes, on verrait ce trop plein d'encre sur la plupart des archives, ce qui est long du cas.Ashermayam a écrit:Peut être une explication plus prosaïque : en dehors du côté esthétique, les points peuvent servir à se débarrasser du trop-plein d'encre sur la plume.
Hervé a écrit:
Certes, certains curés aimaient faire de beaux dessins mélangés aux actes, mais pas du côté des témoins.
Mandra a écrit:Personnellement j'ai toujours associé (peut-être à tord) les 3 points en triangle à la symbolique du compas (la tête et les 2 pointes) que l'on retrouve dans les sigles symboliques à la fois des compagnons et des francs-maçons.
Si c'est ce que l'on a compris à la lecture de ma phrase, c'est que je me suis mal exprimé car je voulais dire tout le contraire: jamais, à ma connaissance, les FM n'ont été évoqués dans ma banque qui, comme beaucoup de grandes entreprises, craignait le mainmise des sectes !Jimbo a écrit:Je ne crois pas que quiconque ici ait dit que les francs-macons étaient considérés comme une secte.