Bonjour à tou(te)s,
J'espère que ces 3 jours de repos vous ont été bénéfiques, tant sur le plan santé que sur celui de vos recherches? Quant à moi, cela a été le cas.
Bref! Je continue mon histoire sur les suites concernant la famille de mon oncle, parisien, frère jumeau de mon père et, surtout, sur les retrouvailles avec mes cousin(e)s.
Donc une fille, d'un de ceux-ci, m'ayant contactée, m'a donné les coordonnées de ses parents qu'elle avait informés de cette incroyable nouvelle, après toutes ces années de silence!
J'ai aussitôt téléphoné à mon cousin qui était celui qui nous avait accueilli en gare de l'ouest (en ce temps là!) Je ne sais pas si celle de Montparnasse existait? C'est une autre histoire, hors sujet!
Donc, prise de contact téléphonique, avec beaucoup de questions de part et d'autre, puis lorsque je lui demande où il demeure, j'éprouve un choc émotionnel, intense, lorsqu'il me donne l'adresse de sa demeure! Pourquoi?? parce qu'il demeure en Charente-Maritimes, dans un petit village que je connais bien, pour l'avoir visité.
Maintenant, je suis obligé, pour répondre à votre curiosité que j'espère exacerbée, de revenir quelques mois en arrière. En effet, cela faisait la 3ème année que je venais dans ce département, afin d'y effectuer une cure thermale suite à des problèmes de santé, consécutifs à mon service militaire, en Algérie.
Cela se passait dans une commune distante d'une trentaine de kilomètres de celle de mon cher cousin.
Lors de mes temps de loisirs, je me rendais dans un cybercentre sis près de mon hôtel afin de continuer mes recherches familiales, ou de me renseigner sur les lieux intéressants du département.
A la suite de quoi, je prenais ma voiture après le déjeuner (les soins, thermaux,se faisant le matin) et je sillonnais les routes côtières, ou intérieures, à la recherches de beautés visibles, et cachées surtout.
J'avais, également, cherché sur l'annuaire téléphonique mon patronyme en me disant que, peut-être, des cousins avaient un pied à terre, pour leurs vacances.
A ma grande surprise, j'en ai trouvé 2:
L'un avec le prénom, avec son initiale semblable à celle du prénom de mon cousin. Aussitôt que possible, j'ai appelé au numéro mentionné, mais je n'ai eu aucune réponse, malgré plusieurs appels.
L'autre personne, trouvée dans une autre localité très connue par les vacanciers, était mentionnée sous la dénomination d'un magasin de "meubles et chiffons". Je l'ai, également, appelé mais sans aucun résultat.
Je précise, maintenant, que j'étais arrivé à quelques jours de la fin de ma cure, et je décidais de me rendre dans les endroits cités ci-dessus. Arrivé devant la première adresse, d'un supposé cousin, j'y ai trouvé portes et fenêtres closes.
C'était un samedi et j'ai pensé que les occupants en étaient absents pour le WE. J'ai continué ma route pour me rendre dans l'autre localité où était situé le magasin de la deuxième personne.
Là, je suis passé devant, à plusieurs reprises, et j'y ai aperçu une dame dans la quarantaine, qui était fort occupée à s'occuper de sa clientèle féminine.
Sa boutique, de quelques mètres carrés, située dans la rue commerçante, était achalandée de meubles "simili", anciens et baroques, auxquels s'ajoutaient des étoffes, à rideaux, et des écharpes aux couleurs chatoyantes. D'autres "babioles" parsemaient diverses petites étagères.
C'est là, à ce moment précis, que j'ai perdu l'Unique moment où, ce qui suit, se serait passé autrement!
Je vous assure, sur l'honneur, que mon récit est totalement véridique. Vous en saurez plus dans les prochains jours, car je vous laisse, maintenant, à vos occupations favorites, plus urgentes que mon bavardage.
Je vous transmets mes chaleureuses salutations.
Pierre
J'espère que ces 3 jours de repos vous ont été bénéfiques, tant sur le plan santé que sur celui de vos recherches? Quant à moi, cela a été le cas.
Bref! Je continue mon histoire sur les suites concernant la famille de mon oncle, parisien, frère jumeau de mon père et, surtout, sur les retrouvailles avec mes cousin(e)s.
Donc une fille, d'un de ceux-ci, m'ayant contactée, m'a donné les coordonnées de ses parents qu'elle avait informés de cette incroyable nouvelle, après toutes ces années de silence!
J'ai aussitôt téléphoné à mon cousin qui était celui qui nous avait accueilli en gare de l'ouest (en ce temps là!) Je ne sais pas si celle de Montparnasse existait? C'est une autre histoire, hors sujet!
Donc, prise de contact téléphonique, avec beaucoup de questions de part et d'autre, puis lorsque je lui demande où il demeure, j'éprouve un choc émotionnel, intense, lorsqu'il me donne l'adresse de sa demeure! Pourquoi?? parce qu'il demeure en Charente-Maritimes, dans un petit village que je connais bien, pour l'avoir visité.
Maintenant, je suis obligé, pour répondre à votre curiosité que j'espère exacerbée, de revenir quelques mois en arrière. En effet, cela faisait la 3ème année que je venais dans ce département, afin d'y effectuer une cure thermale suite à des problèmes de santé, consécutifs à mon service militaire, en Algérie.
Cela se passait dans une commune distante d'une trentaine de kilomètres de celle de mon cher cousin.
Lors de mes temps de loisirs, je me rendais dans un cybercentre sis près de mon hôtel afin de continuer mes recherches familiales, ou de me renseigner sur les lieux intéressants du département.
A la suite de quoi, je prenais ma voiture après le déjeuner (les soins, thermaux,se faisant le matin) et je sillonnais les routes côtières, ou intérieures, à la recherches de beautés visibles, et cachées surtout.
J'avais, également, cherché sur l'annuaire téléphonique mon patronyme en me disant que, peut-être, des cousins avaient un pied à terre, pour leurs vacances.
A ma grande surprise, j'en ai trouvé 2:
L'un avec le prénom, avec son initiale semblable à celle du prénom de mon cousin. Aussitôt que possible, j'ai appelé au numéro mentionné, mais je n'ai eu aucune réponse, malgré plusieurs appels.
L'autre personne, trouvée dans une autre localité très connue par les vacanciers, était mentionnée sous la dénomination d'un magasin de "meubles et chiffons". Je l'ai, également, appelé mais sans aucun résultat.
Je précise, maintenant, que j'étais arrivé à quelques jours de la fin de ma cure, et je décidais de me rendre dans les endroits cités ci-dessus. Arrivé devant la première adresse, d'un supposé cousin, j'y ai trouvé portes et fenêtres closes.
C'était un samedi et j'ai pensé que les occupants en étaient absents pour le WE. J'ai continué ma route pour me rendre dans l'autre localité où était situé le magasin de la deuxième personne.
Là, je suis passé devant, à plusieurs reprises, et j'y ai aperçu une dame dans la quarantaine, qui était fort occupée à s'occuper de sa clientèle féminine.
Sa boutique, de quelques mètres carrés, située dans la rue commerçante, était achalandée de meubles "simili", anciens et baroques, auxquels s'ajoutaient des étoffes, à rideaux, et des écharpes aux couleurs chatoyantes. D'autres "babioles" parsemaient diverses petites étagères.
C'est là, à ce moment précis, que j'ai perdu l'Unique moment où, ce qui suit, se serait passé autrement!
Je vous assure, sur l'honneur, que mon récit est totalement véridique. Vous en saurez plus dans les prochains jours, car je vous laisse, maintenant, à vos occupations favorites, plus urgentes que mon bavardage.
Je vous transmets mes chaleureuses salutations.
Pierre