Vous recherchez un mariage et pas de trace de ce dernier à la fin du XVIIIème siècle ?
Ce qu'il faut savoir c'est que le 13 Fructidor de l'an VI (le 30 août 1798), une loi impose la célébration des mariages au chef-lieu de canton et non pas comme les us et coutumes à savoir dans la commune de l'épouse.
Ainsi du 1er vendemaire de l'an VII (le 22 septembre 1798), premier jour de l'année républicaine, au thermidor de l'an VIII (26 juillet 1800), les mariages devaient y être célébrés tous les décadis seulement, c'est à dire tous les 10 jours soit le 10, 20 ou le 30 de chaque mois.
L'inscription de ces mariages se faisait dans chaque canton soit sur une registre unique soit sur un registre différent selon la commune où résident les mariés.
Ces registres ont pu rester groupés au chef-lieu du canton ou avoir été remis à la fin de l'année à la commune concernée.
Quand le maire de chaque commune a retrouvé ses fonctions d'officier d'état civil, i là ouvert des nouveaux registres de mariages pour terminer l'année.
A noter que depuis 1792, un délai de 8 jours devait être respecté entre les publications et l'acte de mariage.
Ce qu'il faut savoir c'est que le 13 Fructidor de l'an VI (le 30 août 1798), une loi impose la célébration des mariages au chef-lieu de canton et non pas comme les us et coutumes à savoir dans la commune de l'épouse.
Ainsi du 1er vendemaire de l'an VII (le 22 septembre 1798), premier jour de l'année républicaine, au thermidor de l'an VIII (26 juillet 1800), les mariages devaient y être célébrés tous les décadis seulement, c'est à dire tous les 10 jours soit le 10, 20 ou le 30 de chaque mois.
L'inscription de ces mariages se faisait dans chaque canton soit sur une registre unique soit sur un registre différent selon la commune où résident les mariés.
Ces registres ont pu rester groupés au chef-lieu du canton ou avoir été remis à la fin de l'année à la commune concernée.
Quand le maire de chaque commune a retrouvé ses fonctions d'officier d'état civil, i là ouvert des nouveaux registres de mariages pour terminer l'année.
A noter que depuis 1792, un délai de 8 jours devait être respecté entre les publications et l'acte de mariage.