Moi aussi on me fait des cadeaux qui ne manquent pas d'intérêt

Bonjour à toutes et tous,

Il y a quelques années une personne de ma famille aujourd'hui décédée, m'a fait cadeau d'un petit carnet (10x7 cm) trouvé sur une brocante dans le Loiret (45), d'un petit carnet de service d'un Agent de Police de la Préfecture de Police de Paris en 1920.

Je ne peux pas tout mettre ici, mais ce carnet est plein d'enseignements sur la vie des parisiens vers 1920, la vitesse des hippomobiles, le nombre d'enfants autorisés à y être transportés et plein d'autres choses concernant la vie des habitants, face à la réglementation de l'époque, etc ... etc ...

Mon sujet n'est pas simplement de vous montrer cette découverte, mais j'ai essayé pendant plusieurs années, de rechercher de possibles descendants de cet Agent de Police nommé PHALLUS Georges N° de collet (N° de service 711) pour l'instant en vain.

Ce carnet probablement issu d'une vidage de maison à la suite d'une succession, s'est retrouvé sur une brocante.

Je n'ai reçu qu'une seule réponse d'un généalogiste amateur, qui m'a demandé si je n'avais pas autre chose à faire, qu'à jouer avec la particularité du patronyme de ce brave Gardien de la Paix.

En fin de compte, j'ai obtenu l'accord de la direction des AD du Loiret pour leur adresser, si je n'avais pas réussi à découvrir un descendant intéressé.

Ça doit-être passionnant !
Quand au propos de ce "collègue", je ne m'y attarde même pas.

Jean-Yves

Il est vrai que la vie quotidienne des Parisiens en 1920, c'est de la pure histoire de France, ne pas confondre avec l'histoire de la Bretagne et de ses Nationalistes poseurs de bombes.

Quant à ce brave "Sergent de Ville" "armé" à l'époque du petit sabre réglementaire et de son sifflet, je ne vois pas ce qu'il peut avoir de rapport de "collègue" avec toi

Ton ironie d'authentique nationaliste Breton, n'est pas la bienvenue chez moi

Je me passionne  pour ces documents de vie de nos ancêtres et prédécesseurs.
Ainsi, notre famille a prêté, quelques mois, aux archives de Nantes, les 922 lettres que mon grand-père (médaillés) écrivit tous les jours à sa femme durant la guerre 14 – 18. Elles ont été scannées et sont consultables aux archives.

Depuis 1897, nous avons aussi une tradition familiales de faire circuler entre cousins,  tous les 20 ans en moyenne, un cahier d’une cinquantaines de questions, sur notre manière de vivre, nos point de vues sur la société, etc. Nous en avons 11 depuis l’origine. Un nouveau cahier repartira cette année. C’est passionnant de lire ce que pensaient nos ancêtres et l’évolution des points de vues.

Tu parles d’une petite épée pour la police à cette époque ? Le père de mon grand-père (lui aussi médaillé, mais décédé avant cette guerre) était gendarme et il portait une longue épée à la fin du XIXe et début XXe.


Je parlais ici de collègue en généalogie, et  je ne me reconnais pas dans la démarche de celui-ci qui te demande si tu n’avais pas autre chose à faire.

Jean-Yves