Bonjour à toutes et à tous,
Et merci de m'accueillir dans ce forum consacré à notre passion commune : la généalogie et à tous nos "outils de travail" quotidiens, que ce soit en trucs et astuces pour une meilleure utilisation des logiciels à notre disposition.
Je me suis inscrite à ce forum hier et je remercie Jimbo qui a déjà intégré mes départements de recherche dans le tableau récapitulatif des cousins BSD pour tous.
Je salue également Tahiti que je retrouve ici après le forum des utilisateurs Hérédis et le forum Planète Généalogie.
Pour ce qui me concerne, j'ai attrapé le virus il y aura bientôt 10 ans, car j'ai commencé à ressentir les premiers symptomes à partir de 1995. Faute de temps car je travaillais et avais à l'époque deux jeunes enfants, je n'ai pas pu me lancer dans mes recherches. Il faut dire de plus qu'internet ne permettait pas encore de faire des prouesses à partir de son ordinateur et qu'il n'y avait qu'une solution, se déplacer aux archives départementales. Puis, ayant perdu mon emploi, j'ai cherché une activité qui me permette de sortir de chez moi, tout en continuant à utiliser l'outil informatique.
Bien entendu, la pratique de la génalogie s'est imposée à moi mais il est vrai que seule, sans expérience, j'ai eu beaucoup de mal pour savoir par où et comment commencer. Je ne connaissais même pas à l'époque les archives départementales, je croyais que tout devait se trouver dans les mairies............ J'étais totalement ignare. Et ce n'est que lors d'une visite des archives dépatementales du 49 dans le cadre des journées du patrimoine en septembre 1999 que j'ai eu le déclic. Je m'y suis rendue dès le lendemain et je suis rentrée dans la spirale sans fin.
Bien entendu j'ai commencé par la facilité, c'est-à-dire ma généalogie car il me semblait que tout devait être concentré sur le Maine-et-Loire. Ce qui était vrai du côté de mon père à 100 % par contre pour ma mère je me suis retrouvée très rapidement avec une branche dans le Finistère et une autre dans la Sarthe, et comble de malheur ces deux départements ne pratiquent toujours pas l'échange de micro-film de leurs archives. Donc il m'a fallu prévoir des déplacements pour ces deux départements.
Ensuite je me suis mise au travail pour mon mari. Et là c'était plus compliqué. Il est le fils naturel d'une mère célibataire, qui l'a confié dès l'âge de deux mois à l'Assistance Publique, après l'avoir reconnu. Cette dernière est originaire du Perche (Orne et Nord de la Sarthe) dont le père est également un enfant abandonné par sa mère à L'Assistance Publique de Paris. Il m'a fallu près de trois années de correspondances et de communications téléphoniques pour enfin obtenir son dossier de la DASES de Paris, et apprendre que l'arrière-grand-mère de mon mari était originaire du Pas de Calais.
Et bien qu'ayant connu son père qui est décédé en 1993, je suis me suis heurtée au problème des dates de communicabilité des actes de moins de 100 ans (pour son acte de naissance) et je suis restée bloquée pour cette raison. J'ai dû faire intervenir un professionnel généalogiste pour enfin obtenir l'acte de naissance de mon beau-père. Ce dernier est né dans les Cotes d'Armor, mais de parents nouvellement installés en Bretagne qui étaient tous les deux originaires du Lot et Garonne.
Voila pour ma présentation et le contenu de mes recherches qui sont loin d'être terminées.
Pour terminer je dirai, de par mon expérience qu'il existe deux étapes dans les recherches généalogiques.
La première consiste à remonter aussi loin que l'on peut dans l'arbre en ligne directe des sosa, sans vraiment tenir compte des branches collatérales, et la seconde consiste au fil de nos rencontres tant sur internet que dans les archives que l'on fréquentent de cousins plus ou moins éloignés, à la prise de conscience que nos ancêtres sont toujours vivants, par leur descendance.
C'est ainsi que nous avons retrouvé et rencontré dans le Lot et Garonne, en Bretagne, dans le Pas de Calais et en région parisienne, des cousins avec lesquels nous sommes toujours en contact et dont nous étions loin de connaître l'existence il y a encore quatre ou cinq ans.
Comme le dit Tahiti le plus dur est de commencer à parler sur le forum, mais quant on parle de SA passion cela n'est jamais difficile surtout lorsque l'on veut faire partager ses différentes expériences.
J'arrête mon bavardage et vous dis à très bientot sur ce forum que je continue à découvrir.
Françoise Bourgeois - 49 Angers
Et merci de m'accueillir dans ce forum consacré à notre passion commune : la généalogie et à tous nos "outils de travail" quotidiens, que ce soit en trucs et astuces pour une meilleure utilisation des logiciels à notre disposition.
Je me suis inscrite à ce forum hier et je remercie Jimbo qui a déjà intégré mes départements de recherche dans le tableau récapitulatif des cousins BSD pour tous.
Je salue également Tahiti que je retrouve ici après le forum des utilisateurs Hérédis et le forum Planète Généalogie.
Pour ce qui me concerne, j'ai attrapé le virus il y aura bientôt 10 ans, car j'ai commencé à ressentir les premiers symptomes à partir de 1995. Faute de temps car je travaillais et avais à l'époque deux jeunes enfants, je n'ai pas pu me lancer dans mes recherches. Il faut dire de plus qu'internet ne permettait pas encore de faire des prouesses à partir de son ordinateur et qu'il n'y avait qu'une solution, se déplacer aux archives départementales. Puis, ayant perdu mon emploi, j'ai cherché une activité qui me permette de sortir de chez moi, tout en continuant à utiliser l'outil informatique.
Bien entendu, la pratique de la génalogie s'est imposée à moi mais il est vrai que seule, sans expérience, j'ai eu beaucoup de mal pour savoir par où et comment commencer. Je ne connaissais même pas à l'époque les archives départementales, je croyais que tout devait se trouver dans les mairies............ J'étais totalement ignare. Et ce n'est que lors d'une visite des archives dépatementales du 49 dans le cadre des journées du patrimoine en septembre 1999 que j'ai eu le déclic. Je m'y suis rendue dès le lendemain et je suis rentrée dans la spirale sans fin.
Bien entendu j'ai commencé par la facilité, c'est-à-dire ma généalogie car il me semblait que tout devait être concentré sur le Maine-et-Loire. Ce qui était vrai du côté de mon père à 100 % par contre pour ma mère je me suis retrouvée très rapidement avec une branche dans le Finistère et une autre dans la Sarthe, et comble de malheur ces deux départements ne pratiquent toujours pas l'échange de micro-film de leurs archives. Donc il m'a fallu prévoir des déplacements pour ces deux départements.
Ensuite je me suis mise au travail pour mon mari. Et là c'était plus compliqué. Il est le fils naturel d'une mère célibataire, qui l'a confié dès l'âge de deux mois à l'Assistance Publique, après l'avoir reconnu. Cette dernière est originaire du Perche (Orne et Nord de la Sarthe) dont le père est également un enfant abandonné par sa mère à L'Assistance Publique de Paris. Il m'a fallu près de trois années de correspondances et de communications téléphoniques pour enfin obtenir son dossier de la DASES de Paris, et apprendre que l'arrière-grand-mère de mon mari était originaire du Pas de Calais.
Et bien qu'ayant connu son père qui est décédé en 1993, je suis me suis heurtée au problème des dates de communicabilité des actes de moins de 100 ans (pour son acte de naissance) et je suis restée bloquée pour cette raison. J'ai dû faire intervenir un professionnel généalogiste pour enfin obtenir l'acte de naissance de mon beau-père. Ce dernier est né dans les Cotes d'Armor, mais de parents nouvellement installés en Bretagne qui étaient tous les deux originaires du Lot et Garonne.
Voila pour ma présentation et le contenu de mes recherches qui sont loin d'être terminées.
Pour terminer je dirai, de par mon expérience qu'il existe deux étapes dans les recherches généalogiques.
La première consiste à remonter aussi loin que l'on peut dans l'arbre en ligne directe des sosa, sans vraiment tenir compte des branches collatérales, et la seconde consiste au fil de nos rencontres tant sur internet que dans les archives que l'on fréquentent de cousins plus ou moins éloignés, à la prise de conscience que nos ancêtres sont toujours vivants, par leur descendance.
C'est ainsi que nous avons retrouvé et rencontré dans le Lot et Garonne, en Bretagne, dans le Pas de Calais et en région parisienne, des cousins avec lesquels nous sommes toujours en contact et dont nous étions loin de connaître l'existence il y a encore quatre ou cinq ans.
Comme le dit Tahiti le plus dur est de commencer à parler sur le forum, mais quant on parle de SA passion cela n'est jamais difficile surtout lorsque l'on veut faire partager ses différentes expériences.
J'arrête mon bavardage et vous dis à très bientot sur ce forum que je continue à découvrir.
Françoise Bourgeois - 49 Angers