Enfant naturel du père ?

Tout est dans le titre, un ou une enfant naturel est toujours issu d'une mère, dites moi si je me trompe

Alors, quand on saisi un enfant naturel et que l'on affiche effectivement le qualificatif "naturel", pourquoi BSD ne pourrait pas nous concevoir un dispositif qui rendrait inactif dans le menu dédié, la fonction "créer le père"

Bien sur après une reconnaissance ou un autre changement de statut de l'enfant, cette fonction redeviendrait active

Je délire ou vous pensez que ce serait jouable

Solo44 a écrit:Tout est dans le titre, un ou une enfant naturel est toujours issu d'une mère, dites moi si je me trompe

Alors, quand on saisi un enfant naturel et que l'on affiche effectivement le qualificatif "naturel", pourquoi BSD ne pourrait pas nous concevoir un dispositif qui rendrait inactif dans le menu dédié, la fonction "créer le père"

Bien sur après une reconnaissance ou un autre changement de statut de l'enfant, cette fonction redeviendrait active

Je délire ou vous pensez que ce serait jouable

Quel est l'intérêt ?

J'ai scindé le message pour plus de clarté.

Je pense que, si la mère donne le nom du père (dans une déclaration de grossesse par exemple) mais que celui-ci ne reconnaisse pas l'enfant, l'enfant reste un enfant naturel même si le supposé père est connu.

Donc, à mon avis, on peut avoir un enfant naturel dont les deux parents sont connus. J'établis une nuance avec enfant illégitime lorsqu'il est déclaré comme tel par le curé.

Je croyais que "naturel" était l'équivalent de "illégitime"

Je ne connaissais pas cette possibilité

J'ai aussi rencontré un enfant issu et 2 personnes non mariées, la mère meurt à l'accouchement, le père déclare l'enfant et veut s'en occuper... Enfant naturel issu du père donc, la mère est très rarement précisée dans ce cas...

Dans les registres paroissiaux, la mention "fils naturel et légitime" implique que l'enfant est issu d'un mariage. Lorsqu'il est seulement "naturel" sans père déclaré ou connu, souvent il est déclaré par le grand-père et le curé rédige parfois l'acte en latin, sans doute pour marquer la "désapprobation". Mais il y a également le cas où l'on trouve la formule "enfant donné à "; l'enfant n'est pas issu d'une union légitime, le père ne l'a pas forcément reconnu (il est souvent lui-même marié!), mais la mère l'a désigné nommément comme étant le père, de ce fait il porte le nom de ce père putatif. Quand je trouve ce genre de situation dans les transcriptions que je fais pour Généabank, je porte toujours la mention "père putatif" pour le généalogiste qui va exploiter l'acte.

François a écrit: quel est l'intérêt ?

Dans le cas précis où le père est totalement inconnu, une aide supplémentaire à la saisie en évitant encore quelques erreurs

J'ai remarque que depuis que les sexes sont synchro avec les prénoms, je n'ai plus d'erreur de ce type, alors pourquoi ne pas aller plus loin dans tous les domaines.

Pitié pour les étourdis

Chamire a écrit:Je pense que, si la mère donne le nom du père (dans une déclaration de grossesse par exemple) mais que celui-ci ne reconnaisse pas l'enfant, l'enfant reste un enfant naturel même si le supposé père est connu.

Donc, à mon avis, on peut avoir un enfant naturel dont les deux parents sont connus. J'établis une nuance avec enfant illégitime lorsqu'il est déclaré comme tel par le curé.

ça ce sont des données contemporaines, car à part les reconnaissances au mariage pour des données relativement récentes, je n'ai jamais vu de telles mentions dans les actes anciens

Mais je n'ai très certainement pas encore tout vu