Je viens vous parler d'une dernière expérience, commencée il y a plus de 20 ans, qui va je pense aboutir très bientôt avec la parution de GenoPresse II.
J'ai accumulé depuis que l'idée a germé dans ma tête, une foultitude de documents écrits et parlés, plus ce que j'ai dans ma mémoire sur un petit village charento-limousin. Un village de cambrousse, comme disent certains, mais pour moi, mon village de coeur, le berceau familial maternel. Et de plus, un village dont sont issues un grand nombre de tuileries, hélas aujourd'hui disparues, il n'en reste plus qu'une, qui essaye tant bien que mal de survivre.
Au fil de mes recherches généalogiques, j'ai reconstitué les familles du village, des tuiliers et de ses hameaux. Elles se croisent et s'entrecroisent dans ma généalogie propre, ce qui m'a grandement facilité dans mes recherches.
Un élément déterminant, à été que je parle (beaucoup moins maintenant que je ne pratique plus quotidiennement) et comprend le patois local. Cela ouvre plus facilement les portes des souvenirs auprès des anciens, d'autant s'ils m'ont connu en culotte courte. Il en reste plus bezef maintenant, et que ma propre génération est bien entamée.
Tout ça pour vous dire, que j'ai presque finalisé le futur bouquin, et comme je voulais pas faire quelque chose d'insipide, mais quelque chose d'agréable à lire, tout en respectant la vérité de ce temps d'avant.
J'ai fais un premier jet que j'ai donné à lire à différentes personnes, de l'écrivain local avéré, en passant par le lettré pour la correction des fautes de syntaxe, grammaticales et tout le toutim, des jeunes et des plus âgés pour m'en faire la critique constructive, avant l'objet finalisé, et peut-être la parution à compte d'auteur.
Je suis un peu éffaré des retours, car si l'idée qu'elle est bonne, l'attente est différente pour interresser le plus grand nombre de futurs lecteurs. Où, je veux me faire plaisir et je tiens pas compte des avis. Où, je tiens compte des avis et je suis obligé d'expurger, tailler dans le vif, dans ce qui moi me paraissait important, dans la connaissance de ce village et de ses habitants.
C'est ma manière, à moi de leurs dire merci de moments merveilleux de ma petite enfance, à ceux, qui n'étaient pas si étriqué d'esprit que pourraient le penser certain(e)(s) sur ce monde rural.
Je m'attendais à ce que l'on me demande d'éradiquer les potins, parfois croustillant, bref la vie toute crue, mais non ça ils me recommandent de les garder...
J'avoue que je suis assez circonspect.
Oui, Messieurs, Dames, je vais me lancer dans la "Monographie de Mon Petit Village" après le 28 de ce mois, date de sortie de ce merveilleux logiciel qu'est GenoPresse II (Merci Dan), qui j'espère va beaucoup m'aider pour mettre une touche finale à vingt ans environ de recherches historiques et généalogique sur un métier (de plus ou moins 1530 à nos jours), de bûcheur à tuilier et à un village de campagne et ses hameaux.
Mais au fil des retours, je vois qu'il me reste encore beaucoup de travail pour donner un temps soit peu d'intérêt pour le futur lecteur
Une question, parmi vous, y en a t'il qui ont tenté ce défi ? Si, oui, pouvez-vous nous faire partager votre expérience ?
C'est pas pour juger (chacun fait ce qu'il veut où comme il peut), mais simplement un moment de partage d'expérience bonne où mauvaise, ainsi que d'idées.
A vous lire.
J'ai accumulé depuis que l'idée a germé dans ma tête, une foultitude de documents écrits et parlés, plus ce que j'ai dans ma mémoire sur un petit village charento-limousin. Un village de cambrousse, comme disent certains, mais pour moi, mon village de coeur, le berceau familial maternel. Et de plus, un village dont sont issues un grand nombre de tuileries, hélas aujourd'hui disparues, il n'en reste plus qu'une, qui essaye tant bien que mal de survivre.
Au fil de mes recherches généalogiques, j'ai reconstitué les familles du village, des tuiliers et de ses hameaux. Elles se croisent et s'entrecroisent dans ma généalogie propre, ce qui m'a grandement facilité dans mes recherches.
Un élément déterminant, à été que je parle (beaucoup moins maintenant que je ne pratique plus quotidiennement) et comprend le patois local. Cela ouvre plus facilement les portes des souvenirs auprès des anciens, d'autant s'ils m'ont connu en culotte courte. Il en reste plus bezef maintenant, et que ma propre génération est bien entamée.
Tout ça pour vous dire, que j'ai presque finalisé le futur bouquin, et comme je voulais pas faire quelque chose d'insipide, mais quelque chose d'agréable à lire, tout en respectant la vérité de ce temps d'avant.
J'ai fais un premier jet que j'ai donné à lire à différentes personnes, de l'écrivain local avéré, en passant par le lettré pour la correction des fautes de syntaxe, grammaticales et tout le toutim, des jeunes et des plus âgés pour m'en faire la critique constructive, avant l'objet finalisé, et peut-être la parution à compte d'auteur.
Je suis un peu éffaré des retours, car si l'idée qu'elle est bonne, l'attente est différente pour interresser le plus grand nombre de futurs lecteurs. Où, je veux me faire plaisir et je tiens pas compte des avis. Où, je tiens compte des avis et je suis obligé d'expurger, tailler dans le vif, dans ce qui moi me paraissait important, dans la connaissance de ce village et de ses habitants.
C'est ma manière, à moi de leurs dire merci de moments merveilleux de ma petite enfance, à ceux, qui n'étaient pas si étriqué d'esprit que pourraient le penser certain(e)(s) sur ce monde rural.
Je m'attendais à ce que l'on me demande d'éradiquer les potins, parfois croustillant, bref la vie toute crue, mais non ça ils me recommandent de les garder...
J'avoue que je suis assez circonspect.
Oui, Messieurs, Dames, je vais me lancer dans la "Monographie de Mon Petit Village" après le 28 de ce mois, date de sortie de ce merveilleux logiciel qu'est GenoPresse II (Merci Dan), qui j'espère va beaucoup m'aider pour mettre une touche finale à vingt ans environ de recherches historiques et généalogique sur un métier (de plus ou moins 1530 à nos jours), de bûcheur à tuilier et à un village de campagne et ses hameaux.
Mais au fil des retours, je vois qu'il me reste encore beaucoup de travail pour donner un temps soit peu d'intérêt pour le futur lecteur
Une question, parmi vous, y en a t'il qui ont tenté ce défi ? Si, oui, pouvez-vous nous faire partager votre expérience ?
C'est pas pour juger (chacun fait ce qu'il veut où comme il peut), mais simplement un moment de partage d'expérience bonne où mauvaise, ainsi que d'idées.
A vous lire.
Dernière édition par Au revoir le Jeu 25 Oct 2012, 20:03, édité 1 fois